EXTRAITS DE QUELQUES ARTICLES DE PRESSE
CONCERTS D'AMERIQUE LATINE (TALVIKKI)
MIDI LIBRE SALINDRES (25 Juin 1981)
« Comme lors de son premier passage en novembre dernier, un spectacle
de qualité qui entraîna la salle à travers une dizaine de pays d’Amérique
Latine avec des chansons en langue espagnole portugaise et quechua accompagnés
d’une dizaine d’instruments dont certains sont
peu connus en Europe. Ce florilège de musiques et de chansons a littéralement
conquis le public qui n’a pas ménagé ses
applaudissements. Deux bonnes heures de spectacle intéressantes et
chaleureuses… »
DAUPHINE LIBERE AVIGNON (26 octobre 1981)
« Un programme excellent avec en première partie les Andes, le Pérou,
l’Equateur, la Bolivie. En deuxième partie, le monde Créole et Noir, le
Chili, l’Argentine, le Paraguay, le Mexique, le Vénézuéla… Au total, ce sont
vingt quatre interprétations sur une multitude
d’instruments. Deux heures de rayonnement des musiques où toutes les
interprétations ont un point commun : l’histoire des peuples qui les
chantent et les dansent. Il s’agit donc aussi d’une information culturelle
transportée par le moyen le plus ancestral, la musique pour
présenter des dieux, des styles de vie, des coutumes, des civilisations avec
leurs évolutions… »
MIDI LIBRE GRANDE COMBE (3 février 1982)
« Un spectacle plein de fraîcheur et de sincérité, sérieux, complet,
enrichissant et bien conduit. »
LETTRE DE L’ORGANISATEUR DE LA SOIREE A LA GRANDE COMBE (30 Janvier 1982)
Ce spectacle a eu un impact très important sur la population. Nous
avons réussi à drainer un public que nous n’avions jamais vu auparavant dans
les manifestations culturelles. L’assistance, une centaine de personnes, chiffre
très fort pour la Grande-Combe a été ravie et a
participé à ce spectacle qui a été brillant, vif et alerte.
Musique populaire avec instruments originaux joués avec brio par de
vrais professionnels qui ont littéralement enthousiasmé le public par leur
talent et leur sincérité. Ils ont été ovationnés et bissés. C’est un spectacle
qui se situe dans un vaste créneau et susceptible
d’intéresser tout public.
Il y a bien longtemps que nous n’avions vu autant de monde a la salle
Marcel Pagnol !
Sincères remerciements.
Michel Deleuze.
INAUGURATION DU CENTRE CULTUREL DE BERGERAC (GRANDE SALLE DE THEATRE).
LETTRE DE L’ORGANISATEUR (1 avril 1982)
Chers amis !
Laissez-moi vous dire l’enthousiasme que votre spectacle a provoqué
sur le public Bergeracois. Déjà le soir du spectacle, les 700 personnes vous ont
montré leur amitié et leurs félicitations pour votre talent, votre sourire et la
teneur du spectacle. - Bravo et merci !
Je rencontre depuis beaucoup de personnes présentes au spectacle,
aucune critique ! Je suis heureux de pouvoir vous le dire. Dès que possible, nous
vous réservons un nouveau passage à Bergerac.
A Martial.
LA MARSEILLAISE ANNONCE DE PASSAGE AU THEATRE POPLULAIRE DU MIDI : TPM
NIMES (5 mai 1982)
« Il est intéressant de retrouver dans ce folklore des éléments qui
proviennent de l’Europe ou de l’Afrique, qui s’y sont implanté et qui se sont
conservés jusqu’à nos jours alors qu’ils ont bien souvent disparu de leur pays
d’origine. L’Amérique Latine est dans bien des cas un musée
vivant de l’Europe et de l’Afrique.
Le spectateur profane pourra, a l’issue de la représentation, prendre
conscience de la dimension culturelle d’un tel folklore et par là
même du folklore en général. Paul Prieto est
surnommé « diablo musico » au Pérou
pour le nombre incalculable d’instruments dont il joue avec un
grand talent. Ce spectacle a été porté par le succès durant les 120
représentations de leur dernière tournée que ce soit aux arènes de
Lunel ou au théâtre d’Alès. Pour un total dépaysement et une véritable évasion
vers le soleil d’Amérique Latine rendez-vous donc
le vendredi 7 et samedi 8 mai au théâtre populaire du midi au départ d’un
magnifique voyage musical. »
ARTICLE APRES PASSAGE AU TPM (12 Mai 1982)
« Talvikki, Un merveilleux voyage autour de l’Amérique Latine. »
Ils sont passé deux soirs de suite au Théâtre Populaire du Midi.et
ils ont « enchanté », au sens fort, le petit public fervent qui les a
vu.
Lui grand, mince, les cheveux noirs, le visage long et inspiré des personnages
du Greco ; elle, fraîche, saine, souriante, d’une beauté ronde et
solaire qui rayonne. Un couple contrasté. Un singulier duo.
A eux deux ils nous entraînent dans le voyage le plus pittoresque et
le plus exotique qu’on puisse rêver : tout autour de l’Amérique Latine. Depuis le
Pérou jusqu’au Brésil, de l’Equateur au Vénézuéla en passant par la Bolivie, le
Chili, l’Argentine, le Mexique et le Paraguay. Mais cet
extraordinaire « voyage organisé », ils ne l’accompagnent d’aucune photo ni
carte postale. Seulement de musiques de chants
et de danses folkloriques, c’est-à-dire populaires traduisant l’âme profonde de
chaque pays, les coutumes des paysans, leurs
obscures adorations de la terre et des dieux, leurs fêtes rituelles, leurs
peines et leurs espérances.
Et chaque fois l’un ou l’autre explique avec une modeste simplicité,
l’origine du chant ou de la danse, le nom de l’instrument, les détails du
costume. Et il faut dire que tout ceci est prodigieux : la harpe péruvienne et
la harpe argentine, les flûtes simples ou doubles, le long tambour,
les minuscules instruments à cordes qui tiendraient dans le creux des longues
mains de Paul… Quand aux costumes, ils sont
superbes. Un par pays, au moins, et des plus pittoresques, colorés chatoyants.
A cette richesse et authenticité du matériel, il faut ajouter
l’immense talent de Paul et de Kati qui jouent dansent et chantent sur
ces rythmes d’Amérique Latine, sur ces poèmes en espagnol, portugais ou
« quechua », et qui s’identifient tellement à ce folklore qu’on ne sait plus à la
fin ce qu’il faut applaudir : l’originalité de la « zamba del panuelo » ou d’une
« cueca » de Bolivie , ou la rigueur, le charme, l’art et
la vitalité fascinante de Kati et de Paul. »
Yvon PRADEL
MIDI LIBRE LUNEL
"C’était beau ! C’était
sensas ! Une soirée inoubliable ! "Voilà les propos
entendus à la sortie de la salle Castel samedi soir. Ce fut en effet un
spectacle de qualité, de virtuosité, de charme et de ferveur. Il surprend par
son originalité et sa construction.
Avec ses présentations précises, claires, ses morceaux authentique
tirés du riche folklore latino-américain, ces artistes de talent vous entraînent
rapidement dans le monde envoûtant des indiens des Andes (première partie, pour
passer ensuite dans le monde créole, plus
hispanisé des régions côtières (deuxième partie).
EXTRAITS DE QUELQUES ARTICLES DE PRESSE
CONCERTS DU MEXIQUE (SON DE MEXICO)
AIX LES BAINS
BIENVENUE A LA MODE MEXICAINE
GENEVIEVE TEDENAT EN OUVERTURE ET SURTOUT «SON DE MEXICO » DEVANT PLUS DE
3000 PERSONNES. (6 Août 1990)
« Pablo(Paul Prieto) et Miriam de l’ensemble « Son de Mexico »
occupèrent ensuite la scène pour donner un spectacle original en même temps que
raffiné et authentique. Pablo qui est parfaitement bilingue espagnol français
contribua largement par ses présentations
détaillées et ses commentaires fort intéressants à établir une communication,
voire une complicité avec le public enthousiaste.
Violoniste virtuose, parolier, chanteur, compositeur, danseur, Pablo
a en plus de ses informations donné le ton au spectacle largement épaulé
par le rythme et les interprétations profondes et chaleureuses de sa partenaire
Miriam, chanteuse, musicienne avec la huapanguera,
instrument d’accompagnement, et danseuse ; et puis il y a la richesse et la
variété des costumes aux couleurs chatoyantes qui
ajoutent encore à la qualité d’un spectacle merveilleux qui a été ovationné
comme il se doit. »
Michel JAY.
AIX LES BAINS NOUVELLE INVITATION PALAIS DES CONGRES
SPECTACLE TEQUILA DE BIENVENUE (9septembre 1991)
" En Première partie un film d’époque présentant le Revard puis un
duo émouvant et enchanteur, le « Son du Mexique »
De l’hiver du début du siècle, la deuxième partie transporta le
nombreux public(l’auditorium du Palais des Congrès jouait à guichets fermés) à
des kilomètres de là, au Mexique plus précisément. Le changement d’air est total
! Pour le plus grand plaisir des spectateurs qui
ont découvert un spectacle de musiques traditionnelles, présenté par Miriam ,
danseuse, musicienne et chanteuse, et Pablo (Paul
Prieto) artiste professionnel depuis dix ans, compositeur et interprète.
Dans ce spectacle ou la partie visuelle complète avec bonheur la
partie musicale grâce aux magnifiques costumes traditionnels et aux danses très
attractives, le public a pu vibrer, il a même pu admirer le « zapateo », rythme
complexe produit par la pointe la plante et le talon des
chaussures qui frappent le sol.
« Son du Mexique »,qui se traduit en français par air traditionnel du
Mexique, a enchanté les nouveaux hôtes aixois qui en ont été quittes pour un
moment d’allégresse et d’émotion loin des clichés sophistiqués de ce pays qu’ils
ont fait découvrir comme vivant et original..
Emouvant et enchanteur."
LETTRE DU PRESIDENT DU COMITE DES FETES D‘AIX LES BAINS. (2 Août 1994)
Monsieur, nous tenons à vous exprimer notre satisfaction pour la
qualité de la prestation que vous avez offert au public à l’auditorium du
Centre des Congrès.
Nous avons noté que le public avait particulièrement apprécié et les
ovations reçues étaient amplement justifiées.
En vous souhaitant bonne réception de la présente, nous vous prions
de croire Monsieur, en l’assurance de nos sentiments les meilleurs.
Gérard Morel Président du comité des fêtes.
LE PROVENCAL EYGUIERES (31 Mai 1990)
L’émouvant message du folklore mexicain.
Ils n’étaient que deux seulement sur la scène du théâtre de
l’Alcazar, mais qui devaient éclabousser de leur talent un public qui,
bien
que peu nombreux, ne manquait pas à la fin du spectacle de leur réserver une
véritable ovation. Les raisons de ce triomphe? Tout simplement
parce que Paul et Miriam - un prénom c’est plus sympathique - s’étaient montré,
dans leur démarche artistique, aussi sincères
qu’enthousiastes. Une démarche qui consistait à nous faire découvrir un Mexique,
non pas celui des clichés sophistiqués ou outrageusement publicitaires, mais un
Mexique vivant, authentique, à travers des traditions et ses
origines.
Deux heures durant, tout ce qu’un peuple à la civilisation riche et
coloré avait acquis en matière de folklore, de Tampico à Veracruz, était
fidèlement reproduit par des chants et des danses. Richesse des costumes,
sonorité des instruments(tenus en main par des virtuoses) ce
n’était rien au regard des commentaires qui mettaient en valeur l’âme même du
paysan et du marin. Bref, un récital vrai, émouvant par
certains côtés, plein de fantaisie et de charme par un autre.
De grâce MM du comité des fêtes, que
l’on nous redonne cet été « Son de
Mexico » !
CORNILLON SAINT GELY
FETE SOUS LE SOLEIL DU MEXIQUE
DU MEXIQUE A L’ANDALOUSIE
Dans de somptueux costumes, le duo a pris place sur cette scène en
plein air et dès les premières mesures de la guitare et du violon, les
cigales interloquées se sont tues.
Avec classe et après les explications, les provinces mexicaines ont
défilé. La culture peut être agréable lorsqu’elle est ainsi servie
et si
quelques bavardages d’impénitents ont gêné au début du numéro, ils se sont
estompés au fur et à mesure de la prestation.
Une petite escapade a conduit les auditeurs vers l’Andalousie, petit
cadeau en cet année du cinquième centenaire de la découverte des Amériques.
La deuxième partie s’est terminée par un retour vers le Mexique et
ses danses traditionnelles pour finir par la danse du lasso, plus connue mais
toujours appréciée, éclairée par le talent de Pablo (Paul Prieto) et de la jolie
Miriam.
LETTRE APRES UN CONCERT DANS LE CHÂTEAU DU SCULPTEUR GUY
BAUDAT (5avril 1995)
Bonjour,
Bravo à Miriam et a Pablo (Paul Prieto) de la part du sculpteur Guy
Baudat, de ma part et de celle des invités.
Nous sommes toujours sous le charme.
Votre prestation fut très professionnelle sans pour autant perdre en
authenticité.
Merci d’avoir fait pénétrer le rêve mexicain dans
Châteaubrun…
Chaleureusement
CLOE
EXTRAITS DE QUELQUES ARTICLES DE PRESSE
CONCERTS DE GUITARE HISPANIQUE (PABLO DE ALMOCITA),
DES ILES BRITANNIQUES ET DE MUSIQUE ANCIENNE
SAINT ANDRE DE SANGONIS
« Un concert de qualité. C’est un auditoire attentif d’une centaine
de mélomanes qui a pu apprécier en l’église Saint André, le concert de guitare
hispanique donné par Pablo de Almocita (Paul Prieto). Le programme de cette
soirée se voulait folklorique : fandango andalou,
pièces d’inspiration traditionnelle argentine, du Pérou etc…et variations sur
les thèmes essentiels du flamenco.
Paul Prieto qui présentait lui-même les différentes parties du
programme, a séduit son auditoire par son interprétation faite alternativement de
bravoure et de rêve. Servi par une virtuosité éblouissante, son récital nous a
livré, pour notre plaisir, ces mélodies et ces rythmes
hispaniques qui ont nourri l’inspiration des grands compositeurs espagnols tels
que Granados, Albeniz, De Falla… »
PORNICHET L’ECHO DE LA PRESQU’ILE GUERANDAISE
MUSIQUE HISPANIQUE AUX OCEANES
PABLO DE ALMOCITA COMMUNICATIF (Paul Prieto) (26 Mai 1995)
« Musicien professionnel de formation classique, Pablo de Almocita
s’est spécialisé dans la musique hispanique populaire.
Invité par l’association échange Pornichet San Vicente de la
Barquera, il a emballé le public en interprétant une suite de fandangos
andalous, tarantos de sa composition, des extraits de musique ancienne,
œuvres de Narvaez, Alonso Mudarra, Gaspar Sanz) et des pièces de musique
traditionnelle argentine, péruvienne et bolivienne. 2 heures pendant lesquelles
il a accaparé son public, lui communiquant ses
sentiments, ses émotions et sa joie de présenter son patrimoine culturel.
Un grand moment de guitare classique et folklorique. »
CONCERT DES ILES BRITANNIQUES(ATLANTIS)
AUZANCE JOURNAL DE LA MONTAGNE
(DUO ATLANTIS) (Concert du 28 septembre 2002)
Paul et Deborah (anglaise), vivent dans la région des lacs au
nord-ouest de l’Angleterre. Ils ont proposé non seulement des musiques mais
aussi des chants traditionnels. Et quel choix ! Ils connaissent très bien ce
qu’ils font et ce n’est pas un hasard si le violon et la
guitare s’alternent en égrenant un florilège des plus belles mélodies de cette
tradition riche et ancienne. Quand à la voix de Déborah, elle est
sublime, chaude, pure et sensible à la fois.
Elle s’accompagne avec le « bodhran », instrument de percussion
traditionnel d’Irlande au son profond, instrument garni de peau de chèvre et
frappé, à son origine avec un os, maintenant remplacé par un bâtonnet.
Ce sont vingt-quatre morceaux en deux heures de spectacle qui ont été
interprétés ou chantés (chansons de marins, de pirates, d’amour, thèmes
écossais, irlandais, canadiens, ou encore de la composition de Paul. Chaque
interprétation est commentée, tant musicalement
qu’historiquement. Les refrains sont repris en duo : les voix de ces deux
artistes sont complémentaires.
Comme de bons metteurs en scène qui savent à la fois faire rire et
pleurer, ils enflamment ou apaisent avec douceur et délicatesse l’auditoire. On
les sent heureux de partager en toute simplicité cette musique.
CONCERTS DE MUSIQUE ANCIENNE (MUSICALMA)
MEYRANNES DE BEAUX MOMENTS MUSICAUX A L’EGLISE NOTRE DAME
« L’église Notre-Dame de Meyrannes ne manque pas de charme dans son
écrin de verdure. Pour l’amateur d’art, il est des occasions à ne pas
manquer pendant l’été et les amateurs de musique ont pu a la fois visiter
l’intérieur de l’église et apprécier le concert de musique
ancienne présenté par Musicalma proposant des œuvres de Telemann, Corette, le
Sieur de la Grange, interprétés par
Corine Tièche à la flûte à bec et à
l’épinette, accompagnée de Paul Prieto au violon et
à la guitare à cinq chœurs. La sarabande de Haendel et les
barricades mystérieuses de Couperin ont, entre autres, enchantés le public
connaisseur disant leur admiration par des
applaudissements nourris. »
CONCERTS DE GUITARE ANCIENNE
PAUL PRIETO EN SOLISTE A LA GUITARE A CINQ
CHOEURS
UNE BELLE SOIREE DE SONATES A L'EGLISE NOTRE-DAME DE MEYRANNES
UN CONCERT PLEIN D'EMOTION
Un auditoire attentif d'une cinquantaine de mélomanes a
apprécié, en l'église Notre-Dame, le concert
de guitare à cinq choeurs donné par Paul Prieto.
La première partie du concert était consacrée
à des pièces de musique ancienne. Pour la
deuxième partie Paul Prieto jouait des oeuvres de sa composition
intitulées Sonates éternelles. Le mot
éternel signifie pécisément hors du temps.
Paul Prieto l'a choisi pour exprimer le fait qu'il ne classe
pas sa musique dans une chronologie historique mais plutôt dans
une famille de sentiments qui existent par eux- même, en
dehors du temps, et peuvent apparaître à nous par
souvenir, ou association d'émotions.
Les sonates sont inspirées par des instants
de vie allant de la naissance, au plaisir de la création, de la
douceur de la pluie jusqu'au voyage amoureux pour terminer sur
détente. Le 1er mouvement, une sicilienne
"délassement", exprime le sentiment que l'on éprouve
lorsqu'on se repose dans le calme et la paix loin du monde et de toutes
les tensions qui l'accompagnent. Le 2ème mouvement, un allegro
"nouvelles et commentaires" exprime le sentiment que l'on
éprouve à se détendre non pas seul mais entre
amis, en se racontant les nouvelles des uns et des autres.
Après des applaudissements nourris, le verre
de l'amitié était offert par la municipalité et
permettait des échanges entre les spectateurs qui
appréciaent à cette occasion le site de l'église
romane en nocturne dont les vielles pierres étaient mises en
valeur par l'éclairage. (Midi Libre)
CONCERT A L'EGLISE DE LA GARDE GUERIN - COMMUNE DE PREVENCHERES
Paul PRIETO nous a gratifié ce samedi 27 septembre à 20 h
30 comme prévu d’un spectacle de qualité par la
magie d’un instrument peu connu : la guitare à cinq
chœurs, très agréable par l’étendue
immense de ses sonorités, valorisée encore par
l’acoustique exceptionnelle de notre petite église romane.
CONCERT A L'EGLISE DE SAINT HILAIRE DE BRETHMAS
A
Saint-Hilaire-de-Brethmas, le 25 octobre 2008 à 20 h30, sous les
voûtes romanes d’un des prieurés majeurs du
piémont cévenol, Emmanuel Arnaud, Claire Chevalier, Kate
Dezina, Catherine Fafa et l’instrumentiste Paul Prieto restituent
la ferveur des musiques sacrées et profanes du temps du chemin
de Régordane
Moments d'émotion lors du concert de
Paul Prieto
7 Août 2009. La Lozère Nouvelle.(Plus ancien hebdomadaire
de France)
Vendredi dernier, 24 juillet en la très belle
église romane de Chasseradès, Paul Prieto nous a fait partager ses émotions au
travers de ses compositions sur guitare ancienne, violon, chant et flûtes
doubles. D'une grande sensibilité doublée d'un sens pédagogique remarquable,
Paul Prieto nous a introduit dans ce monde merveilleux, nous faisant mieux
comprendre cette musique et ces harmonies puisées au cours de son existence et
tout au long de ses voyages dans le monde, en Amérique Latine notamment. Le
rapport qui s'est instauré envers un public nombreux et attentif au début,
enthousiaste et conquis ensuite, montre, si c'était nécessaire, que la musique
constitue bien un des modes d'expression accessible à tous de nos sentiments les
plus profonds, amour, révolte, passion, sérénité...,essence même de l'homme.
D'où l'invitation à suivre le compositeur, comme l'annonçait le titre du
concert,"à la recherche du sentiment perdu", celui que l'on a trop tendance à
laisser enfoui au fond de soi-même. La beauté du lieu et sa sobriété
contribuaient grandement à la réussite de cette manifestation. Souhaitons que
l'an prochain ce moment d'intense communion avec un artiste se renouvelle et
attire encore plus de monde. Rendez-vous est pris pour poursuivre diversifier et
amplifier l'expérience au niveau de la commune de Chasseradès voire de la
communauté de commune Goulet Mont Lozère.
Garrigues-Sainte-Eulalie. Concert à
la Chapelle
9 octobre 2009. Le républicain
d'Uzès
Fin septembre, (le 25) à la chapelle
de Garrigues-Sainte-Eulalie, Paul Prieto a partagé sa musique délicate, raffinée
et vivante avec le public. Ses compositions aux titres évocateurs (sonate du
rêve, sonate du juste) ont rappelé que l'art est fait pour remplir les coeurs
d'émotions pures. L'artiste a transmis tout celà par l'intermédiaire de divers
instruments (guitare ancienne, violon, flûtes doubles) sans oublier sa voix,
profonde et pénétrante.
Musique classique vivante
au temple d'Uzès.
Samedi 31 octobre à 20h30 (Affiche et
lettre de correspondant au républicain
d'Uzès)
Ce samedi 31 octobre au temple d'Uzès, le
Walstadt Kammerorchester de Karlsruhe sous la direction de Norbert Krupp,
claveciniste et chef d'orchestre remarquable, nous a apporté un moment de
chaleur musicale très notoire en nous montrant avec simplicité et sentiments que
la musique classique peut avoir des racines vivantes aussi fortes que d'autres
musiques. A noter la participation d'Anne Lauron à la flûte traversière,
professeur dans les écoles de musique de la région. Un programme très varié avec
des musiciens dont la technique excellente n'a rien enlevé à leur plaisir de
jouer. Un magnifique début avec le concerto en ré mineur pour deux violons de
J.S Bach, interprété par deux solistes inspirés et bien encadrés dans leur
dialogue savoureux par un ensemble très uni. Puis Ilse Neumaier a commencé, dans
la douceur de "l'Ave maria de Caccini", par une remarquable démonstration d'un
pianissimo pour voix de soprano qui semblait choisi à souhait pour un hommage à
la vierge dans un temple protestant, puis a laissé développer sa voix magnifique
de puissance et d'émotion dans le Haendel et le Mozart qui suivirent. Un
intéressant concerto pour cor et orchestre d'Eberle semblait exprimer tout
d'abord l'impression tragique d'un champ de bataille puis soudain une envolée
musicale nous faisait sentir la volonté humaine de transcender cette
désolation, une sorte d'hommage à la volonté de paix qui peut naître après des
guerres tragiques. Une surprise dans le concert, une sonate de Paul
Prieto pour guitare à cinq choeurs et orchestre : La sonate du juste en deux
mouvements. Nous avons eu la chance d'avoir ce compositeur français invité par
le groupe présentant son oeuvre lui-même et l'interprétant à la guitare à cinq
choeurs. Le premier mouvement, "La douceur du juste", exprimant le sentiment de
celui qui cherche la paix et l'harmonie, le second, "A la poursuite du pirate",
exprimant ce sentiment de révolte qui soulève les coeurs pour lutter contre
l'injustice. Une très belle composition que le public a bien ressentie et que
les musiciens ont jouée avec un plaisir évident. Enfin nous avons pu admirer le son profond et
envoûtant du cor des Alpes qui nous a fait voyager dans un univers primitif nous
démontrant par une oeuvre de Leopold Mozart que la musique classique peut donner
la main aux traditions populaires musicales les plus ancestrales sans déroger de
sa valeur artistique.
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